L’impact de l’affichage grand format

L’affichage grand format occupe depuis toujours une place importante dans notre environnement : les milieux urbains, les musées, les spectacles extérieurs ou en salles, les grands magasins et les panneaux d’autoroutes en sont quelques exemples. Lors de spectacles ou d’événements à grand déploiement, l’affichage prend souvent des proportions gigantesques. Dans les transports en commun, on voit parfois des autobus transformés en affiches mobiles.

Ceux qui ont eu la chance de vivre l’expérience Illumi à Laval, l’hiver dernier, ont pu expérimenter la sensation d’émerveillement lorsqu’on est plongé dans un monde imaginaire où tout occupe des proportions immenses. Des personnages, animaux et bâtiments sont créés à partir de structures métalliques de plus de vingt pieds, recouvertes d’éclairage DEL de toutes les couleurs. À plusieurs endroits sur le site, on retrouve des bannières géantes de 20 pieds par 60 pieds qui recouvrent des surfaces formées par plusieurs conteneurs empilés les uns sur les autres pour former les murs des « rues » de la ville Illumi. Pour s’orienter dans les différents chemins et « quartiers » du site, des colonnes carrées sont positionnées à différents endroits stratégiques, identifiées par les noms des zones thématiques, qu’on retrouve également sur la carte directionnelle du lieu. La signalisation est finement mise au point.

Dans l’industrie du spectacle, on peut facilement imaginer les grandes bannières qui recouvrent les devantures des scènes, les bannières de fond de 40 pieds par 30 pieds, que ce soit à Cavalia, à Osheaga, aux Francofolies, au Festival international de Jazz de Montréal, à Igloofest ou encore au festival Montréal en lumières. Des visuels immenses dominent le paysage ; le message est percutant, que ce soit le nom de l’événement, le logo du commanditaire ou une image aux couleurs éclatantes qui attire totalement l’attention.

Tout le monde s’émerveille devant une murale qui recouvre tout un mur d’immeuble. Anciennement, avant que l’impression grand format ne soit possible, des artistes étaient engagés pendant parfois plusieurs jours, voire des semaines, pour peindre à la main une fresque thématique, un slogan, un message. Toutes les publicités de grande dimension d’avant les années 80, sur les immeubles ou les panneaux-réclames, étaient des « œuvres d’art ». Il s’agissait souvent de peinture déposée au pinceau sur des surfaces telles que du bois, de l’aluminium ou des murs de briques.

Aujourd’hui, la technologie n’a plus de limites. On peut imprimer une bannière de 10 pieds par 40 pieds en moins d’une heure. Elle est sèche et prête à la finition en sortant de la presse. Les fournisseurs en affichage grand format peuvent donc servir les clients avec des délais de plus en plus courts. Et les chargés de projets en événementiel le savent.

Il n’y a donc plus de raison de s’en priver pour s’assurer d’un véritable impact sur ses événements ou sur ses stratégies publicitaires.

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